Rapprochez vous des équipes soignantes
Rapprochez vous des équipes soignantes Rapprochez vous des équipes soignantes
Rapprochez vous des équipes soignantes
interrogez votre médecin, votre chirurgien,
interrogez votre médecin, votre chirurgien, interrogez votre médecin, votre chirurgien,
interrogez votre médecin, votre chirurgien,
Si vous pensez ne pas avoir obtenu
toutes les réponses à vos questions,
vous pourrez vous rapprocher de la com-
mission de relation avec les usagers
(CRUQ) qui saura vous conseiller et or-
ganiser une éventuelle médiation avec
les professionnels de votre établisse-
ment.
La commission régionale de concilia-
tion et d’indemnisation ne sera saisie
que pour un dommage physique grave
résultant de votre hospitalisation
(www.commissions-crci.fr).
Vous pouvez aussi adresser un cour-
rier au directeur de l’établissement .
Pour plus d’information :
www.securitesoins.fr
www.securitesoins.frwww.securitesoins.fr
www.securitesoins.fr
N° Azur
N° Azur N° Azur
N° Azur
(appel local)
(appel local)(appel local)
(appel local)
0810 455 455
0810 455 4550810 455 455
0810 455 455
CHR Site Félix Guyon
Route de Bellepierre
97405 SAINT DENIS Cedex
Téléphone : 02 62 90 51 30
Télécopie : 02 62 90 51 37
Messagerie : contacts@felin.re
Pour répondre à vos
questions
Infections
nosocomiales
Quel risque?
Antenne Régionale CCLIN-FELIN
Réunion Mayotte
Plaquette d’information Usagers
Plaquette d’information UsagersPlaquette d’information Usagers
Plaquette d’information Usagers
Plaquette élaborée par
le groupe Nord FELIN
Comment prévenir les IN ?
Comment prévenir les IN ?Comment prévenir les IN ?
Comment prévenir les IN ?
Par une organisation
organisationorganisation
organisation locale
Votre établissement de santé possède une équipe de spé-
cialiste de la lutte contre les IN qui travaille en relation avec
un comité de professionnels médicaux et non médicaux ,
nommé le CLIN (Comité de Lutte contre les IN ) .
Par l’engagement des personnels
personnelspersonnels
personnels
En se formant, en respectant les bonnes pratiques et par une
hygiène des mains rigoureuse, les professionnels préviennent
les infections nosocomiales.
L’ hygiène des mains est pratiquée de préfé-
rence en utilisant des produits à base d’alcool
encore appelés Solutions Hydro Alcooliques
(SHA).
Mais aussi par votre participation :
Vous pouvez aider les équipes à prévenir
Vous pouvez aider les équipes à prévenir Vous pouvez aider les équipes à prévenir
Vous pouvez aider les équipes à prévenir
le risque infectieux
le risque infectieuxle risque infectieux
le risque infectieux
!
! !
!
- respectez une bonne hygiène de base : douche quotidienne ,
lavage des mains après les toilettes etc.
- avant toute opération chirurgicale il est impératif de prendre
une douche minutieuse avec un savon antiseptique (cheveux
compris) , la zone opératoire peut être tondue, jamais rasée,
- ne manipulez jamais avec les mains vos pansements ou les
matériels médicaux (sonde, cathéter, etc.),
- prévenez le personnel dès qu’un signe clinique vous in-
quiète (douleur, inflammation …),
- respectez les consignes du personnel en cas d’infection
contagieuse, limitez les contacts physiques avec les autres
patients,
- demandez aux visiteurs ne pas venir vous voir s’ils sont eux
même atteints d’une maladie transmissible ( ex fiévre,
grippe…)
- demandez l’avis de l’équipe soignante avant l’apport de
nourriture extérieure.
Qu’est ce qu’une Infection Nosocomiale ?
Qu’est ce qu’une Infection Nosocomiale ?Qu’est ce qu’une Infection Nosocomiale ?
Qu’est ce qu’une Infection Nosocomiale ?
Il s’agit d’une infection non présente à l’admission
du patient et qui survient lors de sa prise en charge
survient lors de sa prise en chargesurvient lors de sa prise en charge
survient lors de sa prise en charge.
Une infection nosocomiale est aussi appelée infec-
tion associée aux soins.
La dernière enquête nationale de 2006 montre que
5% des personnes hospitalisées
5% des personnes hospitalisées 5% des personnes hospitalisées
5% des personnes hospitalisées attrapent une infec-
tion nosocomiale, soit environ 750 000 personnes /
an en France.
Quelles sont les Infections nosocomiales les
Quelles sont les Infections nosocomiales les Quelles sont les Infections nosocomiales les
Quelles sont les Infections nosocomiales les
plus fréquentes
plus fréquentesplus fréquentes
plus fréquentes
et quel est le risque de les at-
et quel est le risque de les at-et quel est le risque de les at-
et quel est le risque de les at-
traper ?
traper ?traper ?
traper ?
Les infections les plus fréquentes sont par ordre de
fréquence :
les infections urinaires
infections urinaires infections urinaires
infections urinaires souvent liées à la
présence d’une sonde urinaire
sonde urinairesonde urinaire
sonde urinaire
Les infections respiratoires
infections respiratoires infections respiratoires
infections respiratoires fréquemment
associées à une ventilation artificielle
ventilation artificielleventilation artificielle
ventilation artificielle
Les infections de la plaie opératoire
infections de la plaie opératoireinfections de la plaie opératoire
infections de la plaie opératoire
Plus rarement on retrouve : les infections du sang,
ORL, Gastro-intestinale, infections du cathéter...
Quels sont les principaux
Quels sont les principaux Quels sont les principaux
Quels sont les principaux
microbes ?
microbes ?microbes ?
microbes ?
Le colibacille (Escherichia coli),
le staphylocoque doré (Staphylococcus aureus),
le bacille pyocyanique (Pseudomonas aeruginosa)...
Parfois les antibiotiques agissent peu ou mal sur ces
bactéries : elles sont alors appelées bactéries multi
résistantes aux antibiotiques «BMR»
Comment attrape
Comment attrapeComment attrape
Comment attrape-
--
-t
tt
t-
--
-on une Infection nosocomiale?
on une Infection nosocomiale?on une Infection nosocomiale?
on une Infection nosocomiale?
Dans la majorité des cas , le patient s’infecte avec ses pro-
pres microbes lors de certains soins.
Parfois il peut s’infecter avec les germes d’autres person-
nes (personnel soignant, autres patients, visiteurs) ou de
l’environnemen
t.
Et Pourquoi ?
Et Pourquoi ?Et Pourquoi ?
Et Pourquoi ?
Parce que l’on est fragile : âge, défenses dimi-
nuées vis à vis des infections, diabète, obésité,
dénutrition
En raison des soins reçus : sondage, ventila-
tion artificielle, pose de cathéter veineux,
intervention chirurgicale, endoscopie.
Car les microbes peuvent être plus ou moins contagieux et
agressifs.
Est ce que ça se soigne ?
Est ce que ça se soigne ?Est ce que ça se soigne ?
Est ce que ça se soigne ?
Oui dans la majorité des cas mais un traitement antibioti-
que n’est pas systématique.
Toutes les infections n’ont pas la même gravité.
Les infections urinaires (les plus fréquentes) sont facile-
ment traitées, certaines infections pulmonaires ou certai-
nes septicémies (infection du sang) peuvent parfois être
très graves .
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